Nous faisons un autre pari : créer un un logiciel de maintenance GMAO 100 % paramétrable, pour que ce soit l’outil qui s’adapte à la réalité du terrain et de vos équipes — pas l’inverse.
Et dans cette logique, une étape devient stratégique : le paramétrage initial. On vous explique tout. ⬇️
Aujourd’hui, la maintenance est plus complexe que gérer un parc machine et quelques ordres d’intervention. Elle est devenue stratégique, multisite, pluridisciplinaire, externalisée, digitalisée… Et surtout : différente d’un site à l’autre, d’un métier à l’autre, parfois même d’une équipe à l’autre.
Il est dès lors impossible d’avoir une solution figée. Il faut de la souplesse, de l’intelligence dans les flux de travail, et une interface qui s’adapte aux rôles et aux usages.
Finalement, le paramétrage, c’est le cœur du projet. Il est nécessaire de faire parler l’outil avec les bons mots, au bon moment, et surtout, à la bonne personne.
Mais comment réussir ce paramétrage ? Quels en sont les fondements ? Voici les 6 piliers d’une configuration vraiment utile et alignée sur les enjeux actuels.
Un responsable maintenance, un technicien et un demandeur ne travaillent pas de la même manière. Alors pourquoi leur proposer les mêmes écrans ? L’utilisateur est noyé, perd du temps, et finit par faire des erreurs
Grâce aux menus personnalisés, chaque utilisateur bénéficie d’une interface adaptée à ses besoins réels.
Dès la connexion :
Les filtres, les menus, les raccourcis sont tous paramétrables. On peut même importer les données initiales directement depuis Excel grâce à un outil intégré, pour simplifier la prise en main.
💡 Bon à savoir :
L’interface peut être allégée pour limiter les clics superflus. En maintenance, le temps est une denrée rare : vos équipes doivent accéder à l’info utile en 2 ou 3 clics maximum.
Un bon écran d’accueil, c’est aussi un bon tableau de bord. Alarmes, demandes en retard, interventions à valider, etc. Chaque profil peut visualiser les informations qui le concernent.
Les tableaux de bord sont eux aussi paramétrables : on choisit les modules à afficher, les filtres à appliquer, les données à faire remonter. Et on peut même les rendre interactifs, avec des liens directs vers les actions à mener.
Les clients peuvent accéder à leurs propres Dashboards, qu’ils voient dès la connexion. C’est un vrai cockpit personnalisé. Et oui, tout ça est faisable sans compétences techniques.
💡 Vous voulez voir à quoi ça ressemble ? On vous invite à jeter un œil à notre webinaire :
Chaque utilisateur doit voir ce qui le concerne. Pas plus. Et surtout : il doit pouvoir agir sans risque. C’est pour cela que la GMAO propose une gestion des droits ultra-fine :
Un demandeur voit uniquement ses propres demandes. Un responsable peut visualiser l’ensemble du parc. Et tout est traçable, sécurisé, responsabilisé.
En pratique, cela évite :
On peut même rendre certaines zones obligatoires, en masquer d’autres, ou automatiser des validations selon le profil.
Créer une demande, la prendre en charge, la planifier, ou encore la valider… Une intervention suit un chemin. Vous pouvez modéliser ce chemin à votre image, grâce à des workflows sur-mesure.
Prenons une demande d’intervention classique :
Ce genre de scénario est configurable dès le départ. Et surtout, il est évolutif : si l’organisation change, on peut tout adapter : les étapes, les rôles, les notifications, etc.
Les workflows permettent aussi de gérer les cas particuliers : urgences, indisponibilités, validations multiples, etc. Un vrai gain en clarté et en fluidité opérationnelle.
Besoin d’un rapport hebdomadaire pour la direction ? D’un état des DI en retard pour le responsable maintenance ? Ou d’un bilan mensuel des coûts d’intervention ? Aucun souci.
Le module de rapports personnalisés vous permet de générer en quelques clics :
L’utilisateur est guidé dans l’interface. Et s’il veut aller plus loin, on l’accompagne. Mais dans 80 % des cas, c’est fait en autonomie.
Et pour les plus avancés : les rapports peuvent aussi intégrer des données croisées, des indicateurs métier, ou s’appuyer sur une connexion à l’Active Directory pour gérer les accès automatiquement.
Finalement, qu’est-ce qui fait qu’un paramétrage est réussi ?
C’est simple : il faut poser les bonnes bases. Avant même d’ouvrir le logiciel, on s’assied autour de la table, on discute du processus réel, des rôles, des infos nécessaires. Puis on traduit ça dans l’outil. Et là, tout devient fluide.
Voici les conseils de nos experts :
Et surtout : souvenez-vous que c’est l’outil qui s’adapte à vous, pas l’inverse.
Vous souhaitez en savoir plus sur les paramétrages clés indispensables pour tout projet de GMAO réussi ? Téléchargez le replay gratuitement de notre webinaire dédié :
Trop souvent, les équipes maintenance doivent tordre leurs habitudes, leurs priorités, leurs process… pour faire rentrer leur quotidien dans les cases d’un logiciel mal configuré.
Et cela ne résulte qu'en perte de temps, frustration, et inévitablement en résistance au changement de la part de vos techniciens.
Mais il existe une autre voie : celle d'une solution de GMAO qui s’adapte à vos profils, vos flux, vos besoins, vos contraintes — et non l’inverse. Et c’est là que tout se joue : dans la configuration initiale. C’est elle qui conditionne la fluidité d’utilisation, l’adhésion des équipes, la fiabilité des données, l’efficacité des décisions.
Tout cela est possible. À condition de poser les bonnes bases, de dialoguer entre services, et de construire un paramétrage au plus proche du réel.
Alors si vous êtes en phase de réflexion, de mise en place ou d’évolution de votre GMAO : prenez le temps de vous poser les bonnes questions. Le logiciel n’est qu’un outil. C’est votre métier qui doit dicter sa forme.
Et si vous avez besoin d’un coup de main pour traduire vos process dans un outil intelligent et évolutif : on est là pour ça.